J’ai véritablement découvert le dulce de leche lors de mon voyage au Chili. Pas le dulce de leche industriel qu’on retrouve chez nous, la confiture de lait, non non cela n’a rien à voir. Le vrai dulce de leche que l’on retrouve partout en Amérique latine a un petit goût différent, un petit quelque chose qui le rend ultra addictif. Le must pour déguster le dulce de leche c’est avec des alfarojes, des biscuits sablés garnis de dulce de leche : une bombe ! 

Le seul soucis : le dulce de leche que l’on trouve en Amérique Latine est industriel et même si il est très bon, il est difficile de retrouver la même chose fait maison. Si on peut s’en rapprocher en goût, au niveau apparence si on ajoute pas du colorant qui va foncer l’appareil ce n’est pas vraiment possible. Mais si ce n’est qu’une question d’apparence, ce n’est pas très grave ! 

Après pas mal de recherches et d’essais, j’ai trouvé la recette qui selon moi se rapproche le plus du dulce de leche que j’ai dévoré pendant plusieurs moi durant mon séjour au Chili. Il existe plusieurs technique mais globalement le dulce de leche se fait avec du lait concentré. Et voilà ! Plutôt simple non ? Oui mais en fait le process dans une cuisine non industrielle est plus complexe. A cuire au bain marie directement dans les boites de conserves, dans une casserole à feu doux pendant 2h ou bien au bain-marie dans un plat à gratin recouvert de papier sulfurisé… J’ai essayé, et pour moi le plus simple et le plus concluant est la version au plat à gratin. Premièrement : pas de risque de tout faire bruler dans sa casserole (ce qui arrive 90% du temps) et contrairement à la cuisson directement dans les boites de conserves, on peut vérifier la cuisson. Bref, si vous voulez savoir tout mes conseils pour obtenir un vrai dulce de leche, c’est par ici !